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La Dernière Personne
By : Kanika Sharma
Chapitre 1
La Surprise
Il était huit heures et demie. Il faisait très beau. Les oiseaux chantaient, le vent soufflait et les feuilles des arbres tombaient sur le terrain herbeux mouillé. Les gens allaient au travail. Les bus, les vélos, les taxis animaient les chemins. Deux hommes sont entrés dans le commissariat. Un homme portait un beau costume avec une veste, un manteau léger, des chaussures à la mode, une écharpe grise et un chapeau brun. L’autre homme portait un pantalon court, des baskets et une chemise sale. Ensemble, ils étaient les meilleurs détectives de l’état parce qu’ils résolvaient tous les crimes du vol à l’assassinat. Depuis quelque temps, la ville était calme, trop calme…
« INSPECTEUR SAVANT ! INSPECTEUR DROLE ! Venez rapidement ! »
« Qu’est-ce qui se passe commissaire?» Drôle a crié. Soudain, il a réalisé l’erreur et il a murmuré à lui-même « Zut, nous avons oublié que le commissaire… »
« Vous deux ne m’avez pas donné mon café du matin avec de la vanille et du caramel que vous obtenez toujours pour moi. Il faut que vous me le donniez maintenant !!!!!»
Sans rien entendre, Monsieur Savant dit « Zut, ces chaussettes sont trop serrées. Oh, parce qu’elles appartiennent à ma sœur. Elle sera très fâchée. Je veux du gâteau au chocolat, mmm. J’ai faim… Quoi ? Désolé Qu’est-ce que vous dites?»
Monsieur Drôle dit, « Rien, ne vous inquiétez pas à ce sujet Savant. Je suis très désolé commissaire, nous serons de retour dans quelques secondes !»
Drôle voulait que Savant disparaisse. Il a tiré Savant à l’extérieur du bureau et a commencé à aller au café. Les deux inspecteurs marchaient sur le trottoir à côté de la rue. Ils s’ennuyaient.
Monsieur Drôle a imité Savant « Je veux du gâteau au chocolat mehmehmehmehmeh. Vous n’utilisez jamais votre cerveau ? Avez-vous un cerveau ? Je ne sais pas… hufff. Vous savez que le commissaire nous virera si nous ne faisons pas ce qu’il dit ? OUA! J’ai oublié que je parle à une coquille de cacahuète.»
« Où est la cacahuète ? J’ai très faim.»
Ce type de discussion a continué jusqu'à ce qu’ils soient entrés au Café Rouge.
« Ahhh Drôle ! Mon ami ! Qu’est-ce que tu veux aujourd’hui ? Le normal ? J’ajouterai votre poudre à la cannelle préférée gratis. »
« Non merci Clément, j’ai besoin d’acheter un café avec de la vanille et du caramel pour Commissaire Biret. »
« Bien sûr ami, UN NUMERO CINQ ! Dépêchez-vous, il y a une longue queue! Oui monsieur, qu’est que vous désirez ? »
Drôle a dit, « Notre travail est très ennuyeux. Personne ne fait rien. »
A cette seconde, une Mercedes-Benz noire s’est garée près du bord du trottoir et un homme est sorti de la voiture. Il portait un costume Armani luxueux et élégant avec de nouvelles chaussures noires. Son nom ? Raymond Richeau. Le vent soufflait dans les beaux cheveux bruns. Avec chaque pas qu’il faisait, ses lunettes de soleil, Ray Ban, reflétait les visages choqués de tout le monde. Les gens le regardaient comme s’il était Charlie Chaplin ou le fantôme de William Shakespeare. Il a marché dans le café, a commandé un café et est sorti comme si c’était sa routine quotidienne. Comme les deux détectives étaient curieux et s’ennuyaient, ils ont pris le café et ont décidé de suivre Richeau et ont essayé de ne pas être remarqués.
Les deux hommes suivaient Richeau dans leur voiture. La Mercedes conduisait rapidement dans la rue et ils luttaient pour se maintenir. Les inspecteurs ont dit au chauffeur de conduire à côté de la Ferrari. Le chauffeur s’appelle Dorant Libord. Il portait les gants, une veste blanche, un costume et des lunettes de soleil et semblait calme et mystérieux. Enfin ils ont atteint un immeuble laid et vieux. Quand ils l'ont vu, ils ont pensé « Olala quel endroit bizarre ! »
Drôle a chuchoté à Savant « Ay! Je suis certain que Richeau n'habite pas ici, il habite au 16ème arrondissement. Je connais cette région, nous sommes entrés dans la banlieue. Je doute que Richeau habite ici. »
Savant s’est écrié "Mais comment tu sais? Oh oui oui, tu as dit, parce qu' il est riche. Bien bien."
Drôle a secoué la tête.
Soudain, Richeau est entré dans l’immeuble. Les deux hommes ont couru immédiatement à côté de l’immeuble. Drôle a demandé à Savant de sortir les jumelles. Savant a sorti les jumelles et regardait ce que Richeau faisait. Il est entré dans l’appartement d'une fille! Les deux hommes étaient étonnés.
Chapitre 2
Une Visite
Le lendemain matin, les inspecteurs ont décidé de suivre Richeau dans tous les endroits pour comprendre sa journée habituelle. Ils faisaient semblant de lire des magazines quand Richeau a acheté son café. Après, il est allé au travail. Les deux se sont déguisés en portant des costumes et des lunettes. Quand ils sont arrivés à la réception, ils ont reconnu la même femme de l’appartement. Elle était très séduisante et attractive. Son blouson était serré, sa jupe, courte et son style de parler, unique.
« Bonjour madame. Il fait très chaud aujourd’hui, n’est-ce pas ? » Savant a dit.
La femme a dit séduisamment, « Oui monsieur, il fait 90 degrés Celsius aujourd’hui. »
Savant n’était pas sûr de ce qu’elle disait. S’il faisait 90 degrés Celsius, le monde aurait fondu.
Drôle a chuchoté, « Savant, elle est très stupide, continue de marcher, elle ne réalisera pas que nous échappons.
A midi, quand les deux hommes étaient fatigués de regarder Richeau parler au téléphone, ils voulaient partir pour le déjeuner. Soudain, la femme est entrée dans le bureau de Richeau et a fermé la porte derrière elle. Ils se sont couchés sur le sol et se sont glissés pour se cacher sous la fenêtre du bureau.
Richeau a demandé, « Oui Madame Pèche, qu’est-ce que vous voulez ? »
« Raymond, Raymond…Ferme les rideaux. »
« Non, Priscilla. Tu es au travail. Nous avons des vies différentes au travail et hors du travail. Si quelqu’un nous voit ensemble, je serai mort. »
« Rayyyy, mais JE T’AIME ! Je n’ai pas peur. »
« Qui est le CEO de l’entreprise et qui est déjà marié ? Moi. Donc, il est essentiel que je sois prudent. Nous devons parler plus tard, sors s’il te plait, je suis occupé. »
Les deux inspecteurs ont respiré. Rapidement, ils ont couru hors de l’immeuble et sont allés au poste de police pour en discuter. Quand ils sont arrivés au bureau, ils pensaient à ce qui s’est passé.
Finalement Savant a soupiré, « Elle n’est pas la femme de Richeau, il trompe sa femme. »
Drole a dit sarcastiquement, «Vraiment ?!? ».
Chapitre 3
L’incident
Le lendemain matin, le téléphone a sonné. Drôle l’a pris et a crié à Savant le titre sur la première page du dernier journal. RICHEAU EST MORT. Le bruit des ambulances et des voitures de police ont éclipsé la ville. Quand Savant et Drôle ont atteint la maison de Richeau, des centaines de personnes y étaient entassées. Ils ont lutté pour se déplacer à travers la foule jusqu’à ce qu’ils décident d’aller par la porte arrière. Il y avait beaucoup de médecins et des officiers de police.
Savant a essayé d’obtenir l’attention de quelqu’un, mais tout le monde était occupé. Ils ont décidé de chercher la maison pour trouver des indices.
Savant a dit, « Drôle, ohé Drôle, viens ici ! Regarde ! » Il a mis des gants et a ramassé un pistolet. « C’est l’un des pistolets les plus avancés technologiquement. »
En marchant, ils ont trouvé deux d’indices : des morceaux de vêtements déchirés et un magnétophone cassé. Les vêtements déchirés ressemblaient à une partie d’une robe noire et une cravate. Ils savaient que la seule chose qui pourrait résoudre le mystère était le magnétophone. Drôle et Savant l’ont donné à un magasin pour les réparations.
La pluie symbolise les larmes qui coulaient sur les visages ridés avec désespoir. Le nombre de personnes à l’enterrement a surpris Drôle et Savant car ils regardaient à travers la clôture du cimetière. Rapidement, les deux inspecteurs ont couru hors de la voiture et sous le toit de la terrasse de l’église. Il est dommage qu’ils ne soient pas invités, mais ils ont réalisé qu’il y avait d’autres priorités comme trouver le meurtrier.
Drôle est entré dans l’église. Savant a dit, « Qu’est-ce que tu cherches? »
Drôle a répondu, « Je cherche une liste des personnes invitées à cet enterrement, car elle nous aidera à développer notre liste de coupables. »
Vingt minutes plus tard ils ont trouvé une liste sur le podium. Drôle a fourré le papier dans sa poche et ils sont sortis. Beaucoup de personnes étaient déjà parties, et il n’y avait plus que deux garçons et une fille.
Drôle était surpris, la femme était l’épouse de Raymond. Chaque fois que Drôle prenait le train pour aller au poste de police, il a toujours vu sa carte d’identité de la banque. Il a dit, « Savant, suis-moi. »
Drôle s’est raclé la gorge, « Excusez-moi madame. Nous travaillons pour la police et nous sommes en charge de l’assassinat de votre mari. Nous devons poser quelques questions. »
« Oui monsieur bien sûr. Je préfère que nous parlions chez moi. Désirez-vous un café chaud ? »
Chapitre 4
Beaucoup de questions
Elle a apporté des tasses chaudes avec soin dans ses mains tremblantes. Sa personnalité belle, pure et généreuse rayonnait malgré la tristesse qui remplissait ses yeux. Sa belle robe se balançait à chaque pas qu’elle prenait. Avant de s’asseoir, elle a regardé la peinture de son mari défunt et a murmuré « Veuve. »
Savant a dit, « Mmmm ce café est très délicieux, merci beaucoup. »
« Ce n’est rien. »
« Uhhh madame, je vais vous poser quelques questions au sujet de votre mari et tous ceux qu’il a connus. J’ai une liste de personnes qui ont assisté à ses funérailles et j’espère que vous me direz qui ils sont. »
« Pas de problème ! »
«Qui est Robert Richeau ? Parce que son nom est le même de Raymond, ils doivent être liés, non ? »
« Oui, il est le frère de Ray, mais ils n’ont jamais parlé l’un à l’autre. Ils avaient une lutte parce que leurs parents ont aimé Raymond plus de Robert. Raymond était beau, rusé et un peu arrogant contrairement Robert qui n’est pas beau mais très poli et modeste malgré la richesse de sa famille. »
Drôle a exclamé, « Est-il marié ? »
Elle a dit, « Non, il est célibataire. Il a refusé de me dire pourquoi, quand, il me racontait ses secrets les plus profonds. »
Savant écrivait rapidement quelques notes sur la feuille de papier avant de lui poser la question suivante. Il est nécessaire qu’il écrierait toutes les choses.
« Euh, qui est Gérard Lesgants ? »
« Oh, il est le maître de la maison. Raymond ne l’aimait pas. Il était toujours en colère contre lui sans aucune raison. Il est dommage que Gérard travaille dur, mais Raymond n'a jamais semblé contenu. »
« les deux avaient une histoire avant que Gérard ne travaille pour vous ? »
Stella a hésité. « Gérard m’a dit une fois, Ray et lui étaient les meilleurs amis jusqu’à ce que dans la neuvième année Ray l’ait embarrassé. Il travaille pour nous parce qu’il a vraiment besoin d’argent et Ray a oublié son enfance. »
Savant a respiré, « Ohhh, bien. Qui est Mélanie Charbon ? »
« AH ! Elle est mon amie depuis que nous avions deux ans. Nous faisions tout ensemble et nous sommes comme des sœurs. Elle a fait quelque chose pour moi. Si quelqu’un essaie de me faire du mal, elle me protégera. Maintenant, elle est journaliste de nouvelles à la télé. Je l’aime. »
Drôle a dit, en essuyant ses larmes, « C’est tellement mignon. »
Poliment, Savant a demandé, « Qui est Charles Milon et François Charbon ? »
Stella a déclaré, « Ils étaient les deux amis proches de Ray, parce qu’ils travaillent ensemble dans le même bureau. Mais récemment Ray a débouté François du travail».
Apres un moment de silence, ils ont déclaré, «S'il vous plaît, acceptez nos excuses d’avoir interrompu votre journée. Vous avez nos plus sincères condoléances. Merci beaucoup pour tout, madame Richeau. » et ils sont partis.
Chapitre 5
Des liaisons
Comme ils marchaient loin de la Richeau mansion, ils pensaient à tous les suspects possibles. Gérard aurait tué Ray en raison des mauvais traitements. Doran aurait tué Ray de l’avoir traité comme esclave. Priscilla aurait tué Ray pour son argent. Toutes ces différentes possibilités ont frustré Savant. Il était tellement en colore qu’il avait besoin d’aller au parc pour se calmer. Quand ils ont atteint le parc, ils ont vu quelqu’un qu’ils se sentaient comme s’ils le connaissaient.
« Pst, Drôle » Savant a chuchoté, « Je pense que c’est Robert parce qu’il ressemble à Ray, mais il est assez laid. Où va-t-il ? Nous allons le suivre ! »
Robert s’est promené sur beaucoup de rues et autour des coins de rues jusqu’à ce qu’il entre dans un bâtiment qui s’appelle La Banque de France. Ils le suivent a l’intérieur et se cachent derrière une chaise. Puis, ils l’ont vu parler à une jolie fille qui était… STELLA ! Savant pense qu’ils ont flirté. Drôle pense qu’il est impossible que Stella ait aimé Robert, mais le plus ils parlaient entre eux, plus ils pensaient la même chose. Ils partent en colère et indignés de leur comportement.
Drôle a crié, « Elle ne nous l’a pas dit! »
Savant a dit, « Je pense qu’elle savait sans doute que Ray avait une liaison avec Priscilla et elle a décidé de faire la même chose. Quels gens dégoûtants. Elle a probablement tué son mari ! »
Soudain, le téléphone de Drôle a sonné. C’était la personne qui avait réparé le magnétophone, il a demandé qu’il l’obtienne.
Savant a dit quand ils ont arrivé dans le poste de police, « Nous allons l’écouter. »
Il y avait une voix de femme et une voix d’homme. Apres quelques instants de silence Savant s’est écrié « Succès, nous avons trouvé les criminels. C’est logique. Le frère de Ray était jaloux de lui et Stella savait que Ray la trompait alors elle voulait se venger. »
Drôle ne savait pas quoi dire, il était étonné que les gens soient si mauvais !
***
Apres des jours pour rattacher des choses ensemble, Savant dit à Drôle, « Stella va avoir une fête ce soir, l’endroit idéal pour l’arrêter. »
Drôle est incertain pour qu’il ne réponde pas. Il continue à penser en profondeur dans son instinct. Savant, remarquant le silence, lui dit qu’il y ira à 19 heures et le quitte.
12 heures et 13 heures aucune idée. 14 heures, il se souvenait d’avoir vu un homme et une femme portant des vêtements noirs funéraires qui avaient l’air déchirés, mais cousus ensemble. 15 heures et 16 heures, il reconnait la voix de la femme parce qu’il l’entend souvent. 17 heures et 18 heures, il se souvient d’un homme qui voyait Priscilla avec Ray et il regarde la porte que les lettres de son nom avait l’habitude d’être. FRA…N…C…OI…S ! OLALALA
19 heures !
« JE DOIS ARRETER Savant ! »
Chapitre 6
La boum et boom !
« Quelqu’un veut un peu de champagne ? » le DJ a crié.
Au cours de la musique qui joue de la LP, Stella parlait fort à quelqu’un de sa fête. « Mon ami a organisé cette fête pour moi, donc je serais en mesure de mieux faire face à ma dépression. »
Savant est entré dans la mansion. Il a saisi le micro et a dit, « Mesdames et Messieurs, je voudrais me présenter. Je suis Inspecteur Savant. Je travaille pour la police et l’agence détective. Je ne veux pas mettre cette fête vers le bas mais je dois annoncer les nouvelles de qui a tué Raymond Richeau… Ils s’appellent…
Drôle est entré dans la maison et a pris le micro des mains de Savant.
« Je suis tellement désolé pour mon ami ivre ici. Il aime prétendre qu’il est un espion haha. Je vais le contrôler. S’il vous plait Dj continuez à jouer de la musique. C’est une fête d’avoir plaisir !»
Tout le monde a commencé à danser et à s’amuser, comme si rien ne s’était passé.
Savant lui chuchote, « Drôle, qu’est-ce que tu as fait ? Nous devons mettre Robert et Stella en prison ! »
« Non Savant. Les criminels sont François et Mélanie Charbon. Les jumeaux Charbon. Mélanie est la journaliste de nouvelles et François travaillait avec Ray. Il a probablement dit à Mélanie que Ray trompait Stella, et Mélanie, étant la meilleure amie de Stella a essayé de la protéger. »
« OLALA, quelle surprise ! Maintenant, nous pouvons les mettre en prison. »
« Non »
« Pourquoi pas ? »
« Parce que je vais appeler Biret et il va prendre soin d’eux. Allons manger de la crème glacée ! »
Quand ils étaient assis dans le magasin de crème glacée, ils ont entendu les voitures de police et leurs sirènes. Quelques instants plus tard, il y avait du silence. Un silence paisible. Ils ont finalement eu une certaine excitation dans leur vie, peut-être pourraient-ils être promus à un poste égal à celui de Biret. AHA, qui va chercher le café maintenant ?